PROJET S.O.U.R.C.E

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user +10000 salariés cake Créée il y a 11 ans
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Présentation de PROJET S.O.U.R.C.E

Le modèle entrepreneurial tel que nous le concevions auparavant dans nos économies est actuellement en pleine mutation. Si le développement socio-économiqueque nous avons connu ces dernières années étaitproportionnellement continu et favorable, celui-ci laisse désormais la place à un contexte de crises successives. Nous constatons dès lors que ce phénomène, à travers ses conséquences sur le taux du chômage, le marché du travail ainsi que la précarisation d’une partie de la population, bouleverse la stratification sociale actuelle de nos sociétés.Au-delà du recul idéologique et du ralentissement économique que cela entraine, cette mutation a donc également d’importantes conséquences sur l’entrepreneuriat. En concomitance avec l’émergence d’une catégorie nouvelle d’individus désespérés par le contexte actuel et en situation de grande précarité (chômeurs de longue durée, jeunes diplômés sans emploi, minorités issues de quartiers défavorisés, etc.), apparaissent aujourd’hui des entrepreneurs « nés de la nécessité ». La survie étant devenue la motivation première de ces entrepreneurs au détriment de l’opportunité, la recherche entrepreneuriale actuelle qualifie ce mouvement « d’entrepreneuriat de nécessité ». Néanmoins, cette face cachée de l’entrepreneuriat contemporain reste mal connue, et aussi « mal reconnue », parce qu’elle paraît témoigner au premier abord d’une régression socio-économique de notre société.Et pourtant il n’y a là qu’une apparence : nous constatons au contraire que ce phénomène entrepreneurial demande instamment à être identifié et facilité, mais certainement pas à être occulté. Certaines associations et institutions telles que Cré’Acteur sur la région Rhône-Alpes,ou l’Adie et l’EPA au niveau national, l’ont bien compris et ont décidé d’encourager cet entrepreneuriat émergeant. Et les premiers constats sontrévélateurs : en 2011 en France, le microcrédit a soutenu 31 000 entreprises dont 12 000 ont été nouvellement créées, permettant ainsi sur l’année la création de 57 000 emplois. Paradoxalement, il arrive même que ces structures nées de la nécessité aient des meilleurs résultats que les entreprises patrimoniales classiques. En témoignent, par exemple, un taux de survie à 3 ans supérieur à 70% ou encore un taux d’emploi moyen à 1,4. Marginaliser ou même ignorer cet entrepreneuriat naissant paraît dès lors absurde pour notre économie et notre société : nous devons l’encourager, l’encadrer, l’optimiser.C’est dans cette optique d’aide à l’entreprenariat émergeant que se sont engagés deux étudiants de EMLYONBusiness School en créant le Projet S.O.U.R.C.E. En effet, en raison de la carence actuelle en matière d’expérience et de connaissance sur ce type d’entreprenariat, il reste encore beaucoup à faire afin de bien comprendre ce phénomène nouveau, et ainsi participer avec le maximum d’efficacité à son développement. Le Projet S.O.U.R.C.E, en collaboration avec le laboratoire de recherche d’Economie Expérimentale (LESSAC) de Dijon se propose d’aider à combler ce manque.Ce projet vise à réunir, sur toute l’année 2013, des données et témoignages en provenance de différents pays en voie de développement où l’entreprenariat de nécessité, plus ancien et plus largement enraciné, se trouve de ce fait plus facile à observer et à analyser.A l’aide des données et informations qu’il recueillera, le présent projet se fixe comme objectif de contribuer le plus rapidement possible à ce queces entrepreneurs issus de la nécessité deviennent, demain, des acteurs majeurs de la sphère économique européenne.Le modèle entrepreneurial tel que nous le concevions auparavant dans nos économies est actuellement en pleine mutation. Si le développement socio-économiqueque nous avons connu ces dernières années étaitproportionnellement continu et favorable, celui-ci laisse désormais la place à un contexte de crises successives. Nous constatons dès lors que ce phénomène, à travers ses conséquences sur le taux du chômage, le marché du travail ainsi que la précarisation d’une partie de la population, bouleverse la stratification sociale actuelle de nos sociétés.Au-delà du recul idéologique et du ralentissement économique que cela entraine, cette mutation a donc également d’importantes conséquences sur l’entrepreneuriat. En concomitance avec l’émergence d’une catégorie nouvelle d’individus désespérés par le contexte actuel et en situation de grande précarité (chômeurs de longue durée, jeunes diplômés sans emploi, minorités issues de quartiers défavorisés, etc.), apparaissent aujourd’hui des entrepreneurs « nés de la nécessité ». La survie étant devenue la motivation première de ces entrepreneurs au détriment de l’opportunité, la recherche entrepreneuriale actuelle qualifie ce mouvement « d’entrepreneuriat de nécessité ». Néanmoins, cette face cachée de l’entrepreneuriat contemporain reste mal connue, et aussi « mal reconnue », parce qu’elle paraît témoigner au premier abord d’une régression socio-économique de notre société.Et pourtant il n’y a là qu’une apparence : nous constatons au contraire que ce phénomène entrepreneurial demande instamment à être identifié et facilité, mais certainement pas à être occulté. Certaines associations et institutions telles que Cré’Acteur sur la région Rhône-Alpes,ou l’Adie et l’EPA au niveau national, l’ont bien compris et ont décidé d’encourager cet entrepreneuriat émergeant. Et les premiers constats sontrévélateurs : en 2011 en France, le microcrédit a soutenu 31 000 entreprises dont 12 000 ont été nouvellement créées, permettant ainsi sur l’année la création de 57 000 emplois. Paradoxalement, il arrive même que ces structures nées de la nécessité aient des meilleurs résultats que les entreprises patrimoniales classiques. En témoignent, par exemple, un taux de survie à 3 ans supérieur à 70% ou encore un taux d’emploi moyen à 1,4. Marginaliser ou même ignorer cet entrepreneuriat naissant paraît dès lors absurde pour notre économie et notre société : nous devons l’encourager, l’encadrer, l’optimiser.C’est dans cette optique d’aide à l’entreprenariat émergeant que se sont engagés deux étudiants de EMLYONBusiness School en créant le Projet S.O.U.R.C.E. En effet, en raison de la carence actuelle en matière d’expérience et de connaissance sur ce type d’entreprenariat, il reste encore beaucoup à faire afin de bien comprendre ce phénomène nouveau, et ainsi participer avec le maximum d’efficacité à son développement. Le Projet S.O.U.R.C.E, en collaboration avec le laboratoire de recherche d’Economie Expérimentale (LESSAC) de Dijon se propose d’aider à combler ce manque.Ce projet vise à réunir, sur toute l’année 2013, des données et témoignages en provenance de différents pays en voie de développement où l’entreprenariat de nécessité, plus ancien et plus largement enraciné, se trouve de ce fait plus facile à observer et à analyser.A l’aide des données et informations qu’il recueillera, le présent projet se fixe comme objectif de contribuer le plus rapidement possible à ce queces entrepreneurs issus de la nécessité deviennent, demain, des acteurs majeurs de la sphère économique européenne.
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